Oct 052011
 

On accuse souvent les féministes d'être misandres, c'est à dire de détester les hommes. Déjà en 1901, à la une d'une gazette on voyait une femme demander à une autre "es tu féministe ?" et de lui répondre "non j'aime trop les hommes".

L'accusation n'est pas nouvelle ; on reproche encore aux militants anticapitalistes de détester le patronat, voire de vouloir le pendre au premier réverbère venu ce qui doit équivaloir à la castration que voudraient infliger toutes les féministes.
On reprochait aux militants noirs des années 60 et 70 d'eux aussi, vouloir la mort de l'homme blanc ; comme si la demande d'égalité n'était au fond qu'une volonté de prendre le pouvoir.

Le féminisme n'est pas un idéologie confortable ; elle oblige à revoir chacune de ses positions, chaque chose que l'on croyait acquise, normale. On se retrouve à constater nos conditionnements et à travailler dessus sans relâche.

Mais qu'est ce que le féminisme ? C'est vouloir et faire que les hommes et les femmes soient égaux en droits. Au départ, il s'agissait essentiellement de constater les inégalités très visibles, légales et de les faire abolir.

Au fur et à mesure, on s'est rendu compte que cela devait passer par un changement des rôles sociaux des hommes et des femmes. Vous pouvez faire toutes les lois que vous souhaitez ; si on continue à penser que seule une femme est apte à s'occuper des enfants, l'inégalité persistera. On donc commencé à interroger le rôle social des femmes. Puis des hommes.

Lorsqu'on interroge ce système là - et qu'on commence par dire, par exemple, que 99,99% des viols sont commis par des hommes, il est logique que certains hommes se sentent accusés. Logique mais pas justifié. Encore une fois c'est un système qui est dénoncé, pas des individus. Nous sommes tous partie prenante de ce système ; vous l'avez constaté les femmes, également, l'entretiennent.

Critiquer et analyser des comportements n'est pas être contre celles et ceux qui les ont adoptés.
Un exemple simple ( enfin non pas simple, il crispera beaucoup de femmes). Ne vous apparaît il pas comme curieux que la quasi totalité des femmes occidentales partagent toute le même goût complètement personnel et individuel pour l'épilation ? Lorsqu'on va questionner cette habitude culturelle, on va remettre en cause pas mal de choses. On risque d'expliquer aux femmes - dont je fais partie, rappelons le 😉 - que leur libre-arbitre ne l'est ps tant que cela. Cela n'est pas grave mais c'est bien de le voir.
Et là encore personne n'a dit - donc ne venez pas en parler - que c'est la faute des hommes. c'est un système qui fait perdurer cela, système dont tous faisons tous et toutes partie.

Système qui fera dire aux uns et aux autres "tiens elle part chercher son gamin à l'école ; il est 16.30 ; comme quoi embaucher des bonnes femmes hein. enfin c'est bien c'est son rôle". et si c'est un homme "comment ca il part chercher son gamin à l'école ? ou est sa femme ???".
Je caricature ? allez regarder une sortie d'école :).

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  43 réponses sur “Misandrie ?”

  1. C'est vrai, j'adore les sorties d'école !
    Plein de mamans, souvent très belles, quelquefois sexy, un vrai bonheur !

  2. il appartient à chacun et chacune de sortir de son conditionnement.
    on peut choisir de remettre les dogmes en question.

    à mon avis le grand frein, je veux pas traiter le monde de couard géant mais pas loin, c'est qu'en effet la liberté, ça s'assume.

    dire "je ne veux plus m'épiler" est plus facile que décider juste, simplement, de passer à l'acte.
    la liberté de passer à l'acte existe.
    mais hé...la trouille...
    alors que c'est justement par les passages à l'actes toujours plus nombreux que les dogmes se sont établis et c'est de la même manière qu'ils se déconstruiront.

    certains papas savent se rendre disponibles et je ne pense pas que leur patron leur en ait fait la proposition telle une offrande sur un plateau: coucou, tu veux ton a

  3. après midi?

    (navrée, faute de clavier)

  4. Le terme "féminisme" n'est pas très engageant il faut dire. On a le -isme des extrémismes, qui implique toujours qu'on considère appartenir à une communauté supérieure qui doit prendre le pouvoir, en se confrontant radicalement avec ses antagonistes.
    Pris au pied de la lettre on ne peux pas voir où se trouve la recherche d'égalité là dedans, et si on est un homme on a vite fait de se dire "Euuuh... Mais l'antagoniste c'est moi nan ?"
    "Anti-sexisme" est un terme pourtant beaucoup plus clair, moins belliqueux, et beaucoup plus représentatif des combats d'aujourd'hui.

  5. mais ARRETEZ avec ce -isme.
    le surréalisme, le pointillisme, l'impressionisme. ils appartenaient à une communauté supérieure qui voulaient se battre à coups de pinceaux ?

    http://fr.wiktionary.org/wiki/-isme

    et je te signale, qu'il y a le suffise -isme, dans antisexisme aussi.

    Il y a l'histoire. et l'histoire c'est le féminisme. y renoncer me fait mal à coeur.

  6. Isme veut dire idée, concept. Deux fois la même absurdité en trois jours, ça devient fort. Féminisme rime avec extrémisme, mais terrorISTE rime avec fleurISTE, donc je vais de ce pas lancer un missile sur le vendeur du coin, et tant que j'y suis prévenir mon cher et tendre que l'érotISME c'est fini entre nous, il avait pas qu'à être un salaud d'homme.
    Je comprend qu'on puisse avoir du mal avec l'étiquette "féministe", qui n'a de sens qu'à la lumière de son histoire. Si ça permet à certain (souvent des hommes) de joindre le combat en se sentant plus inclus, tant mieux. Je comprends qu'on puisse vouloir s'identifier avec le néologisme étymologiquement neutre "antisexiste" (ou "égalitarien" ou quoi que ce soit), si et seulement si on ne crache pas sur les féministes au passage. Ce que tu fais, Resh.
    (au passage, tu ne veux être antagoniste donc tu préfère un mot qui commence par "anti"? Sweet irony)

  7. Sans parler du isme et des anti truc muche, est ce que changer le terme ne pourrait pas redonner de l'élan au mouvement ? En effet, le terme féminisme a un "poids" historique et une imprégnation dans les esprits qui ne joue pas toujours en sa faveur. Si changer le mot permettait de sortir des sempiternelles cliché, est ce que ça ne vaudrait pas le coup d'y réfléchir ?

  8. Renier les accomplissement des féministes passéEs et présentEs redonnerait de l’énergie au mouvement? Je dois mal comprendre, parce que dis comme ça, ça me semble complètement absurde.

    Les féministes ne sont pas responsables des stéréotypes, les sexistes le sont. Changer de nom pour changer les mentalités serait aussi efficace que de changer les mots "homosexuel" et "gay" dans l'espoir qu'on arrêtera de les traiter de tapette, de pd et de femme.
    Ce genre de discours rappelle celui qui a initié les slutwalks: les violeurs sont à l’affût, donc il faut que les femmes s'habillent plus correctement. Et parce que des clichés sexistes circulent sur les féministes, il faudrait faire profil bas et renier toute l'histoire d'un mouvement?

  9. flashou ; pareil que yelle. je comprends ton raisonnement mais merde quoi.
    les clichés "mal baisée, misandre, lesbienne etc" je préfère encore les assumer, mieux les revendiquer que de ceder un pil aux sexistes.
    alors peut être qu'on a tort oui.

  10. Oui les courants artistiques sont en -isme parce qu'ils poussent un concept à l'extrême, toujours en réaction à un autre courant, généralement dominant.

    Et si un isme désigne la revendication d'un concept, lorsque le féminisme cherche à détruire le concept du genre féminin, ca devient un contresens non ?

    Dans antisexisme il y'a un isme mais il y'a surtout un anti justement...

  11. Valérie / Yelle > attention qu'on soit bien d'accord : ma remarque ne vaux uniquement que d'un point de vue "plan de com". Je me dis qu'il serait plus simple de "couper" ce terme et les attaches négative qu'il se traine (quitte a perdre un peu de son histoire) que de revaloriser le mouvement auprès de gens qui partirons le plus souvent sur des préjugé a cause du nom.

    On dejà vu des parti politique se refaire une virginité en changeant de nom (RPR ?) ce qui n'a jamais empecher ses représentant de garde les mêmes références et idéologie.

    Évoluer ne veut pas dire renier, mais composer avec le présent, parce que même si les idées de base sont les mêmes, peut ont considéré que le combat mené de nos jours se fasse dans les mêmes conditions qu'il y'a 50 ou 30 ou même simplement 10 ans de cela ?

    Je pense que nous seront tous d'accord pour dire que "féminisme" est un mot avec une très grande puissance évocatrice, et que le changer a la va vite serait stupide. Sauf que le vocabulaire ne nous appartient pas, c'est quelque chose qui "vit" dans la société et qui se transforme en permanence. C'est comme vouloir imposer des mots francophone a la place de mot comme Email (je sais que c'est une comparaison TRES exagéré).

    Je ne suis peut etre pas assez concerné pour me rendre compte de l'attachement qu'il peut y avoir sur le terme (tu vois Valérie depuis le temps que je te le dis !!) aussi je comprend que ma remarque puisse vous faire bondir.

    Pour Resh > le probleme avec les anti c'est qu'ils se définissent par la négation de quelque chose. La encore c'est juste de com : vaut il mieux dire "anti avortement" ou "Pro vie" ? j'ai tendance a croire que le second terme passe mieux.

  12. @Flashou, tu as bien argumenté ton point de vue, mais je veux juste ajouter un truc :

    "On dejà vu des parti politique se refaire une virginité en changeant de nom (RPR ?) ce qui n’a jamais empecher ses représentant de garde les mêmes références et idéologie."

    Ben oui, sauf que je ne vois pas ce dont on devrait avoir honte au point de changer le nom ?Ce qu'on voudrait à tout prix faire oublier ?
    Le RPR noyé dans l'UMP, c'est une manière de faire oublié toutes les affaires liées à l'histoire du parti. Concrètement, ce qui est reproché au féminisme, vient de l'extérieur, et ne tombe pas (sauf erreur) sous le coup de la loi. Je ne pense pas qu'une seule féministe ne renie aujourd'hui les combats/agissements des féministes passées (Alors que les gens de l'UMP n'acceptent pas d'être reliés aux affaires passées du RPR).
    Du coup, je trouve que la comparaison tombe à l'eau.

  13. "Oui les courants artistiques sont en -isme parce qu’ils poussent un concept à l’extrême, toujours en réaction à un autre courant, généralement dominant."
    resh. non. vraiment. je comprends bien que tu tentes de de dépatouiller de l'annerie précédente mais pas avec cette phrase débile.

    Personnellement tout en adhérant à tout ce que dit flashou, tout en ayant appelé des revendications antisexistes et pas féministes (ce qui m'avait d'ailleurs valu des insultes), je continue, à préférer féminisme.
    et le fait que ca fasse sursauter plein de gens n'y est pas étranger.
    voir le regard de veau mort de certaines et de certains lorsqu'on me présente comme féministe n'a pas de prix :p

  14. Clairedesbois > exemple effectivement malheureux (décidément je suis en train de ruiner mon karma sur ce coup là :)) car je ne voulais pas sous entendre que le féminisme avait besoin de se refaire une virginité (oula que c'est casse gueule ça aussi...) mais une fois encore, je tenais a rester dans le pragmatisme : une image connoté (pour quelle que raison que ce soit) peut s'améliorer avec un bon relooking.

    Ce n'est que du médiatique, ça ne change pas les gens qui sont dedans ni ce qu'ils ont fait (en bien ou en mal) ça change juste la vision qu'on en a.

  15. Le tout est d'assumer ses propos.
    Toi tu le fais, pas de doutes. Tu as ouvert un blog, tu défends tes points de vue etc.
    Tu es militante.

    Mais ce sont les mêmes clichés qui collent aux féministes depuis des lustres.
    Pourquoi cette caricature de la féministe qui n'aime pas les hommes ?
    Pour pouvoir faire de son discours, de ses actes, un "sentiment" (sur le mode de j'aime/j'aime pas les hommes). Pour les décrédibiliser.
    Bref, quand on entend "de toutes façons les féministes n'aiment pas les hommes", c'est le signal qu'il y a du boulot et que la personne en face est au niveau 0 de la pensée politique. Maintenant je propose "La domination masculine" de Bourdieu comme entrée en matière 😀

    Salutations,
    Suzanne

  16. Je suis donc un zôm, et j'aime à me considérer comme féministe, même si je suis pas exempt de travers mais parce que je me surveille, j'interpelle famille et collègues. Parfois je les emmerde, et je pourris des conversations. Je m'en fous. Je préfère bousculer que caresser dans le sens du poil des personnes qui entretiennent le "système" et qui se sentent jamais remis en question. Je les lâche pas. A la fin, ils finissent par comprendre, ou culpabiliser, ou fermer leur gueule. C'est un petit pas mais je le regrette pas. Depuis quand les avancées sociales et humaines se sont faites sans bousculer personnes !?

  17. J'ajouterais que, bien loin de détester les hommes, beaucoup de féministes cherchent AUSSI à démonter les clichés du genre masculin, et à promouvoir les droits des hommes (c'est grâce à une féministe que j'ai pu apprendre que, contrairement à une femme, un homme ne peut pas refuser la paternité, par exemple.)

    A l'inverse, celles que j'entends mettre tous les hommes dans le même sac ("pfff, nan mais les mecs, c'est tous les mêmes, des salauds et des lâches"), généralement, ce sont les mêmes greluches qui lèvent les yeux au ciel quand on leur parle de féminisme...

  18. exactement. On voit beaucoup ce genre d'idées dans les magazines féminins.
    "les mecs sont trop des cons mais au fond ils sont mignons qu'est ce qu'on ferait sans eux , doudou il est rigolo il sait pas faire une machine".

  19. Sur l'aspect Misandrie...je me permets de rajouter que les relations avec les femmes me paraissent ensuite bien plus agréables, plus équilibrées, plus transparentes, plus épanouissantes. Certaines me disent que je ne suis plus un homme... mais celles-là je les regrette pas. Je suis d'accord avec Kaywinnit, et même au-delà des droits des hommes, le féminisme nous aide à dépasser nos propres conflits, autopression et névroses intérieures... au final à se sentir mieux, plus "complet" ou "entier".

  20. @Kaywinnit Bien vrai ! On cherche à obtenir une égalité des droits, et ça passe bien entendu par un équilibrage total. Les mecs aussi sont discriminés (moins, mais quand même, notamment avec les gosses, que ce soit dans les lois ou dans les moeurs).
    Jusqu'ici, les plus gros clichés que j'ai vu sur les hommes, ils sont répétés par des idiotes ou des gros cons (les gros machistes en mal de testostérone, genre, qui se plaignent du fait que l'homme n'est plus un bourrin tueur de raptors).

  21. Héhé, justement moi je ne pense pas que les hommes soit moins discriminés. Question de critères, de points de vues.
    Un homme a autant de mal si ce n'est plus à faire accepter son refus de la virilité qu'une femme a de mal à faire accepter son refus de la féminité.
    Pour moi le patriarcat n'est pas une création des hommes mais de la société, dans laquelle se complaisent autant la plupart des hommes que la plupart des femmes.
    Je vais même revendiquer mon statut de connard AOC en affirmant qu'en réalité cela fait plus davantage souffrir les hommes que les femmes (cf : les taux de suicides)
    Bref, c'est pour ca aussi que je me revendique de l'anti-sexisme plutôt que du féminisme, les combats des sixties, perso, je m'en bat royalement mes noix velues. J'essaie d'aller de l'avant.

  22. Resh > Les taux de suicide qui prouvent que les hommes souffrent plus que les femmes ? alors là j'avoue il en fallait des velues pour la sortir celle là.

  23. L'humain est un animal culturel. Il se fait tout un monde dans sa tête. Il fabrique sa société selon son modèle mental, en imposant à ses membres de se conformer à ce modèle pour faire vivre cette société. Aucun modèle ne convient à tous, mais il y a toujours une minorité qui impose son modèle à tous, grâce à la passivité lâche ou attentiste de la masse. Quand la société ne satisfait plus assez de monde (ce qui arrive par cycle), quand le modèle faillit, les gens rejettent le modèle et se replient sur ce qu'ils n'ont jamais cessé d'être: des bêtes; avec leurs lois de la jungle.
    Le nationalisme ressurgit, le racisme, le sexisme, etc. Que le Système financier actuel s'écroule, et plus personne ne parlera de féminisme, et d'humanisme, et de démocratie, ou de république; des trucs qui passent au-dessus de la plupart des têtes. Les gens ne pourront plus se permettre le luxe de se donner des airs civilisés, égalitaristes, démocratiques, ou féministes. Ce sera chacun pour soi. C'est déjà le cas. Le féminisme s'est particulièrement développé pendant les trente gloireuses, mais nous verront ce qu'il en adviendra dans la période récession qui vient.

    Le féminisme, sous des airs d'égalitarisme, relève de la même prétention que l'intégrisme et autre communisme. Toutes les idéologies conditionnent leur réussite à la conversion totale du monde avec application stricte des préceptes... et élimination de tous ceux qui ne cadrent pas, qui ne se sacrifient pas pour faire exister concrètement le modèle idéologique. On dirait bien que les féministes participent au Système qu'elles prétendent combattre.

    L'égalitarisme, c'est du communisme sans collectivisation. L'idéologie du partage entre les sexes (entre classes, c'est autre chose), avec la prétention à régir le moindre aspect de la vie quotidienne en traquant chaque atteinte à ce sacro saint principe. Parce que édicter l'égalité des sexes, c'est une chose, la concrétiser en reconditionnant mentalement tout le monde, c'est autre chose. Et obtenir le résultat escompté, c'est encore autre chose.
    L'égalité, personne ne veut, chacun veut se distinguer des autres, et même être plus que les autres; parce que la Nature n'a pas l'air de vouloir de clones, pas plus que les métisseurs soi-disant égalitaristes (qui prônent le brassage génétique).
    Si l'objectif est de reconditionner les gens, faudrait arrêter de parler, et mettre en oeuvre un conditionnement mental effectif, scientifiquement mis au point. Parce que, si les féministes comptent procéder avec le préchi précha, comme les religions qui, après des siècles ou des millénaires, à grand coup de Dieu tout puissant, parviennent lamentablement à convertir superficiellement des gens par la force, la ruse, le mensonge, l'obscurantisme, l'intégrisme... elles n'ont pas fini de baver.

    Jusqu'à un certain point, on peut suivre le féminisme, comme l'humanisme et toutes les idéologies "hippies", et c'est ce qu'on fait la plupart des gens en occident, mais il y a des féministes qui sont comme les intégristes, totalement obnubilées, et comme eux, à tout vouloir, elles perdront tout, car face à eux, il y a les gens doués de raison, du sens de la réalité, ne sont pas prêts à suivre les fanatiques jusqu'à l'abnégation. Les gens ne veulent pas devenir comme des femmes soumises dévouées à leur mari, en l'occurrence au féminisme.

  24. " L’humain est un animal culturel. Il se fait tout un monde dans sa tête. "

    Prends pas ton cas pour une généralité, petit oeuf !

  25. Les féministes intégristes sont inefficaces et devraient donc, d'après toi, passer au lavage de cerveau? ("conditionnement mental effectif") C'est peut-être mon état de fatigue et de légère ébriété, mais ça m'a pas l'air de tenir debout tes idées.

    "L’égalité, personne ne veut, chacun veut se distinguer des autres" Clarifions la situation: les féministes ne veulent pas réellement te couper les parties, c'est juste ta paranoïa qui te fait croire ça. L'anti-racisme n'a jamais fait disparaître la variété de couleur, le féminisme ne nous fondra pas plus en un blob uniforme, tant au niveau de l'apparence que du comportement.

    "Aucun modèle ne convient à tous" Mouis, quand le chef de famille propriétaire terrien a autorité/possède sa femme, ses enfants, ses esclaves, ses domestiques, ses employés,... il y en a parfois qui râlent. Mais c'est subjectif.
    "des airs civilisés" Commes j'vous dis, ma brave dame, c'est du vent ces gueux qui veulent qu'ont les respectent. Attendez qu'il y ait plus rien à manger et ça deviendra leur priorité n°1. Si ça c'est pas une preuve.

    "avec la prétention à régir le moindre aspect de la vie quotidienne"
    - Monsieur, battre votre femme/violer votre nièce/harceler votre subordonnée/... c'est mal. Au passage, élever des gosses et faire le ménage n'est pas nécessairement qu'une affaire de gonzesse.
    - Faites chier à venir me dicter mes moindres faits et gestes!

    "Les gens ne veulent pas devenir comme des femmes soumises dévouées à leur mari, en l’occurrence au féminisme."
    Le féminisme ne frappe personne, ne viole personne, ne réduit personne à la condition de domestique sans la paye, le féminisme n’empêche personne de sortir seul et/ou à visage découvert dans la rue, de voter, travailler ou de conduire une voiture. Le féminisme ne lapide/répudie pas les femmes pour infidélité,...
    Le féminisme ne considère la valeur de personne comme un peu inférieure à celle d'un humain à cause de son sexe. (ou tout autre variation physique d'ailleurs)

    Au nom des hippies intégristes, va te faire ****** avec un cactus. SVP.

  26. Max | 7/10/11 | 23 h 14 min
    » L’humain est un animal culturel. Il se fait tout un monde dans sa tête. »
    Prends pas ton cas pour une généralité, petit oeuf !

    ça c'est la réponse. "c'est celui qui le dit qui l'est."

    "Les féministes intégristes sont inefficaces et devraient donc, d’après toi, passer au lavage de cerveau? "

    Elles sont partie prenante du Système. Elles utilisent les mêmes méthodes. Elles s'appuient sur son soutien.
    De tout ce que disent les féministes, on en revient à une question de conditionnement, social, culturel, mental, sexuel. Et je dis que si tel est l'objectif, il faudrait mieux mettre en oeuvre les moyens de son ambition, parce qu'autrement le féminisme ne servira qu'à assoeir un pouvoir et à faire du pognon, comme les religions.

    C'est un lieu ouvert aux commentaires. Je glisse un commentaire. Dernièrement Valérie a eu "pitié" de moi, alors elle me laisse poster. Quand elle en aura marre, elle m'effacera, et j'arrêterais de poster.

    Je ne suis pas intervenu pour me lancer dans des questions-réponses, donc je réponds juste à ça:

    "Le féminisme ne frappe personne, "

    Il le fait avec les mots à défaut de le pouvoir avec les moyens des hommes parce que les femmes n'ont pas ces moyens. Quand elles les ont, face à des enfants ou des hommes infantilisés ou bridés, elles les emploient. Donc, ton slogan féministe est dépassé et menteur.

    Vous prétendez vouloir l'égalité, mais vous ne voyez pas les hommes et les femmes comme des êtres identiques. Vous refuser de voir en les femmes ce qu'il y a en chez les hommes.

    Mon expérience des féministes et des néo-féminists ne peut que me faire les détester. Et votre baratin n'y changera rien.

    Enfin bref.

  27. Ca c'est le propre du salopard de base. Il ne peut pas accepter la réalité : tout le monde n'est pas aussi salop que lui. Rien a faire il bite que dalle au réel le gars. Et il projette à l'infini ses propres turpitudes, ses propres délires, sa propre merde sur l'ensemble de l'humanité. Il pousse même parfois le vice jusqu’à se poser en victime. Et quand on lui parle d'humanité, la seule qui vaille est celle des primates traînants leur(s) femelle(s) par les cheveux au fin fond de leur terroir moisi. Du coup on ose pas évoquer le mot "humanisme" par peur de lui provoquer une hémorragie cérébrale, déjà que les expressions "un peu moins d’inégalités" semble provoquer de légers avc...

    Voyez Bob Marchenoir : " le sexisme, ca n'existe pas et personne ne doit rien à personne " (excepté les immigrés islamogauchiste qui profitent des allocations de la franceuuuu)!

    Le mono-neuronal en fusion, tu parles d'égalité, il pense inégalité renversée, pour lui il ne peut pas y avoir de rapport autre que dominants/dominés, donc pour lui communisme et féminisme c'est juste : inverser les places.

    Il ne fait preuve de nuance que lorsque ca l'arrange. Autrement y'a pas de nuances. Du bien vicelard, du genre a évoquer le racisme anti-blanc(mais pourquoi pas s'épancher systématiquement sur les stats réelles du nombre d'homme battus dés qu'on parle de violence faites aux femmes tant qu'on y est ?)comme étant largement aussi prégnant que Son racisme à lui, son racisme de sous-chien consanguin et alcoolique(miam c'est bon le sous-chien consanguin, ca se mange sans faim ^^)...

    Le discours-type du réac moisi, raciste comme pas deux, hypocrite au delà de toute notion de réalité, égoïste sans limite... Le cousin germain de l'anarcho-capitaliste de base quoi !

  28. hoministe > Quant tu évoques "les féministes" tu mets systématiquement "elles", donc ça sous entend que pour toi il n'y obligatoirement QUE des femmes qui adhèrent a ces idéaux ?

  29. "hoministe > Quant tu évoques « les féministes » tu mets systématiquement « elles », donc ça sous entend que pour toi il n’y obligatoirement QUE des femmes qui adhèrent a ces idéaux ?"

    Quand on parle d'une chose, on ne peut pas continuellement nuancer. Le féminisme est "féminin" à la base; ou bourgeois, ou lesbien, ou nihiliste, ou réactionnaire. Pour les féministes les plus idéologues, les plus fanatiques, les plus intégristes, c'est un mouvement de femmes pour les femmes par les femmes, visant à instaurer le pouvoir des femmes, le matriarcat.

    C'est en tout cas la vision des féministes US. On sait que les Françaises ne sont pas aussi obtues.

    L'islamisme n'est pas un truc de femmes, mais des femmes sont partie prenante de l'islamisme. Faut-il présenter l'islamisme comme une doctrine universaliste pour le bonheur de tous ?

    Quand je vois des hommes féministes américains, je vois plutôt des soumis, genre pacifistes. En France, cela relève plus du gars qui ne veut pas qu'on fasse du mal à sa maman au gauchiste qui pense "lutte des classes" en incluant le sort des femmes, en passant par le jeune habitué à la mixité, au sexe libre, qui ne se pose pas de question existentielle, et qui suit le truc parce que sa gonzesse lui demande de l'accompagner, parce que c'est un mouvement social plus ou moins revendicatif (ça ou autre chose...).

    Tous les idéologues mégalos social/religieux prétendent avoir une démarche universaliste. y'a rien de nouveau avec les féministes.
    Tu peux t'en prendre aux féministes si bien des gars comme moi n'aiment pas les féministes. J'ai appris la haine avec les féministes et les noé-féministes qui croient que tout leur dû, qui prennent les hommes de haut, et j'en passe. Avec elle, rien d'autre n'a de valeur que la femme et le féminisme. Aucun relativisme, égocentrisme total.

  30. Sur ce billet "Aide utile : le point Levaï" il y a des exemples de ce que sont tes fameux hommes féministes:
    Ceux qui jouent les héros en prenant part à un combat gagné d'avance, en marchant sur les pas de celles qui ont débrouissaillé le terrain. Les petits clébards qui hurlent avec les loups. Ceux qui jouent les gros bras derrière un mouvement qui en impose; genre gamin qui bombe le torse en marchant auprès de son père-la-terreur. Le genre de types qui se sentent fort sdans un groupement massif de manifestants. Des fientes de coqs qui ne craignent pas, éventuellement, d'en venir au poing contre une minorité ou des marginaux, parce qu'ils savent qu'ils ont la société derrière eux. y'a là les machos recyclés en défenseurs des femmes, mais à la mode féministe, et qui font du zèle comme les nouveaux convertis.

    Je n'ai aucune considération pour ceux qui n'ont pas les couilles ne s'attaquer ouvertement aux coupeurs de verge, qui terrorisent tout le monde, et qui excitent les féministes. Ce sont des guignols, pas des gens que l'injustice et la violence insupportent.
    Des faux, y'en a partout. Prétendre que le féminisme est un repère de parfaits vrais est de la même vaniteuse prétention que celle des intégristes, islamistes en tête, qui se disent "dans la vérité", surs de leur droit divin à rétablir l'ordre moral.

  31. Hé ben, t'es doué pour parler pour rien dire toi. J'ai essayé de te suivre, et j'ai appris des trucs intéressants ;
    Le féminisme n'a pas les moyens de ses ambitions, mais est gagné d'avance...
    Pour les féministes, seul compte le féminisme, mais c'est un truc de marxistes...
    Le féminisme s'appuie sur le système patriarcal, pour installer le matriarcat...

    T'es schizophrène ou t'as des trous dans le cerveau ?

    Si on raye ces contresens de ton discours, tout ce qu'il reste c'est le grand classique ; Les féministes elles aiment pas les hommes.
    T'as plus qu'à le prouver maintenant.

  32. Le féminisme s'est imposé comme un voix qui compte. C'est un fait que certains considèrent acquis, ferme et définitif, ce qui les fait suivre le féminisme, comme les autres courants dominants. Pareillement, certains se vautrent dans l'islam ou le chinois parce qu'ils y voient des courants dominants; ne serait-ce que parce qu'ils sont médiatisés.
    Mais les féministes trouvent encore que beaucoup reste à faire. en l'occurrence reconditionner les hommes. Parce que pour l'instant, tout n'a reposé que sur des lois imposées par les mâles dominants, les maîtres du monde, qui, évidement, n'ont pas oeuvré par amour du genre humain.

    Et oui, les féministes ont exploité l'infantilisme des hommes pour le dénigrer, les mythes de la femme de porcelaine pour attendrir les hommes, les enfermer dans leurs mythes, et ensuite les écraser. Les féministes disent que les hommes ont tjs eu le pouvoir, pas les femmes, mais elles disent qu'en coulisse se sont les femmes qui avaient le pouvoir; enfin, là où il y a le mieux, le pire, c'est l'oeuvre des hommes.
    Les féministes veulent que les hommes soient forts, et fragiles. Sérieux, et fantaisistes. Prévisibles, et imprévisibles. Masculin, et féminin.
    C'est trop difficile à comprendre comme principe ? Profiter du Système et de la France en le/la critiquant comme des rappeurs ou des islamistes, vendre un profit financier à un pays et spéculer contre ce même produit. Les choses ne sont pas simples ni binaires. C'est comme ça.

  33. hoministe > "...certains se vautrent dans l'islam ou le chinois...".

    Content d'apprendre que Féminisme, islamisme et péril jaune : même combat.

    Ce que je ne comprend jamais par contre dans les réponses de ce genre, c'est quel est la finalité ?

    Si tu sais que les féministes sont des être machiavéliques qui fomentent un plan de conquête du monde ou bien des moutons dressé et conditionnés et irrécupérable, à qui t'adresse tu dans ces colonnes ? qu’espère tu a part cracher ton venin dans des diatribe sans queue ni tête mélangeant politique, sociale, et économie, comme si tout était tenue d'une main de fer par une poignée d'individu façon world company ? (tu le dis toi même : les chose ne sont ni simple ni binaire...)

    Un passage m'interresse pas mal, c'est lorsque tu dis "Les féministes veulent que les hommes soient forts, et fragiles. Sérieux, et fantaisistes. Prévisibles, et imprévisibles. Masculin, et féminin." >> ce que tu décris là ressemble plus à ce que la société donne aux femmes "ordinaire" comme vision de l'homme idéal. C'est un discours que je verrai très bien en couverture de magazine féminin, or cette presse est tout SAUF féministe.

    Alors amalgame de ta part ou simple mitraillage en règle ? comme une espèce d'attentat verbale qui ne vise qu'a abattre aveuglement tout ce qui se présente pour faire passer un accès de fureur ?

  34. "Content d’apprendre que Féminisme, islamisme et péril jaune : même combat."

    J'ai dit que c'est un même combat ? J'ai parlé de la démarche d'adhésion. Et encore, d'un aspect de cette démarche.

    " qu’espère tu a part cracher ton venin"

    J'espère rien en venant ici. Je suis dans un monde qui m'interpelle. Je lui répond.

    "ce que tu décris là ressemble plus à ce que la société donne aux femmes « ordinaire » comme vision de l’homme idéal"

    C'est ce que les femmes néo-féministes veulent. Ce que la plupart des gens veulent: le beurre et l'argent du beurre. C'est ce que veulent les gens, quand on greffe sur eux des idées, alors que ce sont des animaux. Ils veulent l'égalité, mais en tirant la couverture de leur coté.

    Les idéologues féministes ont dans la tête une créature masculine aussi artificielle que les entités mathématiques que manippulent les financiers totalement coupés de la réalité.
    Ce que prétendent faire les intégristes féministes, c'est rien d'autre que refaire la création. Ce ne sont que des mégalo parmi d'autres; les uns rêvent d'un ordre mathématique parfait, les autres d'un ordre moral,ou encore d'un ordre agricole hors sol, et les féministes d'un ordre sexuel à leur sauce. Ils sont nombreux, ceux qui prétendent supplanter la Nature et la faire à leur image mentale.

  35. hoministe > "J’espère rien en venant ici. Je suis dans un monde qui m’interpelle. Je lui répond."

    c'est beau comme du Pierre Bachelet dis donc... mais ça ne veux pas dire grand chose. Tu échanges ici avec des personnes, et si tu engage le dialogue, c'est bien pour une raison non ? (n'avoir rien d'autre à foutre est une réponse tout à fait viable)

  36. Je n'aime pas des masses les hommes, j'aime beaucoup plus les femmes, je suis anti-misandre autant qu'anti-misogyne. Dois-je consulter ?

  37. Hello,
    Cette discussion m'intéresse et j'aimerai que vous évitiez de le tirer à boulets rouges simplement parce que j'exprime une opinion qui peut ne pas aller dans le même sens que la vôtre! 🙂
    Une question: le féminisme est-ce lutter pour le droit des femmes qui implique de restreindre celui des hommes?
    (ie : le calvaire des hommes et pères dans les affaires de divorce)
    Une autre question : Pourquoi parler d'égalité alors qu'il s'agit d'équité entre les sexes?
    L'equité prenant en compte les différences de chacun dans le traitement qui lui est reservé?
    Encore un autre:
    Est-il juste de penser qu'une femme est à priori au moins aussi cruelle qu'un homme?
    Merci

    • aristophane :
      déjà il faut savoir que les pères demandent très peu la garde dans les affaires de divorce et l'obtiennent de manière générale quand c'est le cas.
      ensuite comprenons une chose. le patriarcat définit des rôles très précis pour les hommes et les femmes. Ainsi un homme à part pour s'amuser avec et changer une couche une fois tous les six mois, n'a pas à s'occuper des gamins. lui doit travailler.
      beaucoup de femmes, y compris parfois certaines féministes oui, ont du mal à lâcher les soins aux enfants car elles ont l'impression que, n'ayant pas de pouvoir ailleurs, autant garder celui là.
      il faut donc faire évoluer le rôle des femmes et des hommes. et ca évolue bien cf la suède.

      sur "Est-il juste de penser qu’une femme est à priori au moins aussi cruelle qu’un homme?"
      alors je ne comprends pas trop le mot "cruel" :).
      à l'heure actuelle la majorité des actes violents commis les sont par des hommes. est ce naturel ? pas du tout. très tôt on pousse les petits garçons à être virils, à être agressifs.
      par culture une femme est moins violente qu'un homme car on lui apprend à réprimer sa violence.
      voilà si tu as d' autres questions 🙂

  38. Merci pour votre réponse Valèrie.

    "déjà il faut savoir que les pères demandent très peu la garde dans les affaires de divorce et l’obtiennent de manière générale quand c’est le cas. "
    Je ne sais pas d'où vous tenez cette information mais les statitiques des AF donnent une autre source suivant le Rapport du Secrétariat général du ministère de la justice de 2009 (http://www.justice.gouv.fr/art_pix/1_stat_divorce_20090722.pdf).
    1/ Il n'y a aucune statistique sur les requêtes des pères auprès du JAF de garde principale.
    2/ La garde prinicpale est confié au père dans 17% des cas.
    3/ la contribution des pères aux mères est de 68% lorsque celles des mères aux pères est de 2%
    (autrement dit les mères ne versent quasiment jamais de pension alors que c'est l'inverse pour les pères).

    Pour le reste, je suis d'accord sur le fait que les choses doivent évoluer, l'une d'entre elles étant de traiter la misandrie des TAF.

    "alors je ne comprends pas trop le mot « cruel »"
    La cruauté n'étant la même chose que la violence, ce que j'entends par là que que j'imagine que vous compris, est qu'il serait bon de se débarasser de cette image stérotypée de la femme yc compris de cette vision angélique qui lui colle à la peau.
    Ainsi, oui, les femmes sont, à priori, sont au moins aussi intélligentes que les hommes comme elles sont, à priori, au moins aussi cruelles que les hommes.
    Traiter l'équité nécessaire entre les sexes passe par accepter que les femmes ne sont pas QUE les victimes passives, tout comme les hommes ne sont pas QUE les bourreaux des femmes.
    Les deux sexes sont capables des mêmes actes en fonction de leur personnalité.; sauf à considèrer que les homems seraient par nature violente, ce qui, dans ce cas, serait au mieux du sexisme et au pire de la misandrie..
    Si vous avez des questions..
    😉

  39. Tout ça, c'est très intéressant.
    Mais quelques chiffres :
    - les hommes, c'est 75% des suicidés.
    - 80% des accidentés du travail.
    - 90% des morts au travail.
    - 92% des SDF.
    - 90% des alcooliques...
    Si on ajoute à ça que le service militaire a duré longtemps, et uniquement en direction des hommes, que les hommes n'ont entre autre quasiment aucune liberté vestimentaire, que les modèles de beauté, vertu, courage, plaisir, intelligence, etc.. sont actuellement uniquement les femmes...
    J'aimerais qu'on m'explique en quoi, en tant qu'homme, je suis privilégié.
    J'ajouterai que j'ai été initié par ma mère au féminisme radical dès ma plus tendre enfance et qu'elle a, à force d'humiliations et de coups bas, fini par avoir la peau de son mari.
    J'oubliais : espérance de vie des hommes : 8 ou 9 années de moins que les femmes (la génétique, sans doute!)
    Puisque la propagande vous répète que les hommes ont l'avantage!

  40. [...] On accuse souvent les féministes d'être misandres, c'est à dire de détester les hommes. Déjà en 1901, à la une d'une gazette on voyait une femme demander à une autre "es tu féministe ?" et de lui répondre "non j'aime trop les hommes".  [...]

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